Aux derniers étages d’un immeuble romain des années 50, se niche un triplex qui surplombe la ville éternelle en bord de Tibre. Dans cet appartement, tout est à refaire. Maxime d’Angeac se lance alors dans le projet pour repenser l’ensemble de l’espace et de re-créer une terrasse sur un toit laissé à l’abandon.
Panorama Romain
A l’origine de ce projet d’envergure, il y a l’énigme d'un plan complexe : comment jouer des volumes pour donner de la grandeur à l’espace, sans perdre en intimité ? C’est le cœur de la problématique des projets de Maxime d’Angeac. Alors, il crée dans un plan libre et des espaces avec une certaine souplesse, des points de fuites sophistiqués, des portes discrètes, des cloisons coulissantes, le tout pour moduler les pièces selon les humeurs des futurs habitants.
Il en résulte un appartement résolument contemporain qui s’intègre pourtant très bien dans son décor des années 50. Tout autour, des baies vitrées panoramiques offrent à voir le spectacle de Rome et de ses monuments. Le tout est sublimé par une terrasse qui ouvre la vue sur les immeubles alentours. Quelques marches plus haut, un solarium se dresse au-dessus des toits et porte le regard sur l’immensité de la ville.